les jardins de steph

mardi 22 juin 2010

les jardins du luxembourg


La superficie actuelle du domaine -25 hectares environ- équivaut à peu près à celle des acquisitions de Marie de Médicis, mais sa configuration a totalement changé. Ce n'est qu'à la fin du Second Empire que le jardin s'est installé dans ses limites actuelles.

En 1611, lorsque commence l'histoire du Jardin, le faubourg qui s'étendait au sud des portes Saint-Michel et Saint-Germain, sur la rive gauche de la Seine, était devenu un quartier mondain et campagnard à la fois.

La Reine Marie de Médicis aimait ce faubourg tranquille, plus salubre que le quartier du Louvre et où demeuraient des membres éminents de son entourage italien. Aussi est-ce là qu'elle songea à élire domicile lorsqu'elle manifesta son désir, après l'assassinat d'Henri IV, de quitter le Louvre. Elle se préoccupa donc d'acquérir un terrain assez vaste pour y édifier une demeure inspirée des palais florentins et un parc rappelant les jardins de Boboli. Elle acheta tout d'abord, en 1612, l'Hôtel du Duc François de Luxembourg et les 8 hectares y attenant. Ce fut la première acquisition d'une longue série, car malgré ses embarras financiers, la Reine mère mena pratiquement jusqu'à son départ pour l'exil en 1631 des transactions complexes.

Le domaine demeura en l'état jusqu'à ce que le Palais du Luxembourg fût donné en apanage au Comte de Provence. Afin de payer la remise en état du Palais, on vendit l'extrémité occidentale des jardins du côté Notre-Dame-des-Champs. Dix hectares environ furent cédés en 1782, et fut percée la rue de Luxembourg, future rue Guynemer. Les allées sacrifiées comprenaient la « Vallée des Philosophes » où Rousseau, hôte en 1741 de l'Hôtel Saint-Quentin, rue Victor-Cousin, se promenait tous les matins en exerçant sa mémoire récalcitrante sur les églogues de Virgile, ainsi que l'allée des Soupirs, au nom éloquent.

Le Jardin était désormais orienté du nord au sud, comme le Palais, et sa superficie considérablement augmentée : son extrémité touchait presque au boulevard du Montparnasse.

Dès le lendemain de la condamnation à mort du Maréchal Ney par la Chambre des Pairs, un fiacre l'emmena à 8 heures du matin, le 7 décembre 1815, du Palais, dans les combles duquel il était détenu, à l'Observatoire où il fut passé par les armes.

Les aménagements d'Haussmann se firent largement aux dépens du parc, qui fut, dans un premier temps rogné par l'élargissement de la rue de Vaugirard et l'ouverture du boulevard Saint-Michel. Il fut décidé en 1865 de limiter au sud le jardin par une rue ouverte dans le prolongement de la rue de l'Abbé-de-l'Epée, et de lotir la pépinière et le jardin botanique.

Cette décision souleva à l'époque une levée de boucliers et suscita des pétitions, dont l'une atteignit 12.000 signatures. Dans un de ses contes, Maupassant donne de la pépinière une description qui justifie cette indignation : " C'était comme un jardin oublié de l'autre siècle, un jardin joli comme un doux sourire de vieille. Des haies touffues séparaient les allées étroites et régulières, allées calmes entre deux murs de feuillages taillés avec méthode. Les grands ciseaux du jardinier alignaient sans relâche les cloisons de branches; de place en place on rencontrait des parterres de fleurs, des plates-bandes de petits arbres rangés comme des collégiens en promenade, des sociétés de rosiers magnifiques et des régiments d'arbres à fruits."

Le jardin était désormais établi dans son tracé actuel."lien"

Changement de flux atmosphérique


Avec ce nouveau cycle solaire 24, une baisse d'activité solaire est en cours. Ceci rappelle les cycles solaires dénommés Dalton ou bien Maunder. Au delà du refroidissement climatique à cette époque, ceci pourrait signer un changement des flux atmosphérique.

Lors de grands épisodes de refroidissement climatique, il a été souvent constaté un changement de la direction des vents. Tout ceci se déroule sous nos yeux dans la circulation atmosphérique.



La Terre solide se comporte comme un intégrateur spatial naturel et comme un filtre temporel ce qui rend possible l'étude de l'évolution de l'amplitude des variations semi-annuelles des vents latitudinaux sur une durée de 50 ans. Nous mettons en évidence une forte modulation de l'amplitude de la ligne spectrale de la durée du jour (LOD) par le cycle de Schwabe. Ceci montre que le soleil peut (directement ou indirectement) influer sur les vents latitudinaux à des échelles de temps décennales et multidécennales. Les vents latitudinaux constituent un élément important de la circulation atmosphérique du globe. Si le cycle solaire peut influer sur les vents latitudinaux, alors ils peuvent aussi bien affecter d'autres paramètres du climat global englobant des oscillations tels que la Oscillation Nord Atlantique (L'Oscillation Nord Atlantique) et la MJO (L'oscillation Madden-Jullian) dont les vents latitudinaux sont un ingrédient (Wheeler et Hendon 2004). La cause de ce forçage implique probablement une combinaison du vent solaire, du rayonnement cosmique galactique, des courants Terre-Ionosphère et de la microphysique des nuages.

source : http://www.pensee-unique.fr/

L’ATMOSPHÈRE TERRESTRE
Brewer-Dobson suivant les deux régimes de la QBO est associée à une variation de l’intensité des ondes planétaires qui, elles-mêmes, peuvent modifier la force du vortex polaire et donc la distribution de l’ozone. L’origine des oscillations périodiques des vents stratosphériques tropicaux est toujours un sujet de recherche. Elle est généralement attribuées à l’activité ondulatoire et à une interaction des vents avec les ondes de gravité piégées à l’équateur (ondes de Kelvin)

Cet hiver a connu une récurrence de flux arctique sur l'hémisphère nord. Le vent solaire influe sur le QBO qui est une orientation des vents sur l'équateur. Ils peuvent s'orienter d'est vers l'ouest ou bien le contraire. Selon l'amplitude des vents du QBO cela va affaiblir la circulation stratosphérique de la circulation Brewer-Dobson. Ces vents se dirigent vers les pôles. Quand la circulation Brewer-Dobson est affaiblie, le vortex polaire est lui même affaibli. L'oscillation arctique passe en négatif. L'hiver 2009-2010 aura connu une oscillation arctique la plus faible depuis au moins 50 ans. Il est plausible que cela soit en rapport direct avec ce cycle solaire 23 qui a été interminable (plus de 13ans), et ce cycle 24 qui s'éternise dans son démarrage. Les flux des rayons cosmiques augmentant la nébulosité terrestre, augmentant de ce fait les précipitations et la baisse de la luminosité. L'oscillation arctique passant en négatif, le vortex polaire se déstabilise, les cellules de Hadley s'affaiblissent également, laissant passer des descentes polaires qui peuvent devenir récurantes. En ce qui nous concernant en Europe, ces mêmes descentes polaires se renforcent donc sur les continents Américains et Européens. Les flux d'ouest s'affaiblissent au profit de flux nord-sud en Amérique du Nord et de flux nord-sud ou nord-est/sud-ouest en Europe.

Pour l'heure, les températures mondiales sont restées stables depuis l'an 2000. Dans un prochain article une démonstration sera faite dans ce sens.

De l'électricité produite par des îles solaires artificielles

Les innovations dans le domaine des énergies renouvelables, et notamment de l'énergie solaire, fleurissent. Ces îles solaires en sont un exemple.

Dans un futur proche, ce sont ces plates-formes flottantes (ou terrestres) qui pourraient fleurir, produisant électricité, eau douce et hydrogène de façon durable grâce au rayonnement solaire. Un concept prometteur, aujourd'hui encore au stade du prototype mais qui pourrait prochainement devenir une réalité de notre quotidien.video

jeudi 3 juin 2010

Construire un muret de pierres sèches

© Jean-Jacques Raynal
legende © Jean-Jacques Raynal
Les murets de pierres sèches : nés d'un véritable travail de “récup” des agriculteurs (le matériau est en effet issu de l’épierrage des champs), ils servaient à stabiliser les pentes légères ou à délimiter les parcelles. Aujourd'hui, pourquoi ne pas adapter de telles constructions à votre jardin ? Voici les conseils de Brigitte Lapouge-Déjean.

Préparatifs

Le matériau de base sera de la pierre : de calcaire, de schiste ou de granit, avec des formes pas trop arrondies pour faciliter le travail. Veillez à réunir des formats différents et quelques grandes dalles épaisses qui serviront de base et de blocage dans l’épaisseur du muret. Pour vous fournir, vous pouvez :
  • acheter directement, dans une carrière, de la pierre en vrac que vous retaillerez vous-même (ou y récupérer les “déchets” à trier sur place, qui coûtent trois fois rien),
  • épierrer votre jardin !
  • profiter des travaux routiers de la DDE pour leur demander de récupérer les pierres brutes tombées en vrac,
  • faire des échanges avec des amis possédant des murets en ruine (ne récupérez jamais « à la sauvage » en fouinant dans la campagne ! Demandez au propriétaire),
  • acheter des pierres à bâtir d’origine locale chez un marchand de matériaux (c’est plus cher), avec le défaut d’avoir des pierres calibrées qui donnent des murets un peu trop réguliers ; il faudra donc les retailler pour avoir des formats différents…

Taillez la pierre !

muret_chasse
© D. Klecka
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© D. Klecka

Quand les formes ne s’imbriquent pas bien, ou pour « dresser » une face (la rectifier afin qu’elle soit droite), vous pouvez retailler la pierre à l’aide d’une chasse à pierre (sorte de burin) et d’une massette, ou même les casser en deux avec un marteau pointu (le têtu).

Construire

Triez dans votre stock les plus grosses pierres, de forme assez plate, qui, posées en premier, formeront l’assise. Vérifiez à l’aide d’un niveau qu’elles sont bien horizontales. Étalez autour de vous le reste des pierres afin de pouvoir les choisir facilement et commencez à bâtir. En fait, un muret se monte comme on construit un puzzle, en mariant les pierres entre elles au niveau de la forme et de l’épaisseur, et en les disposant en quinconce au fil des rangées.
Dans les régions gélives, il n’y a pas de précautions particulières à prendre, car même s’il bouge en période de gel, le muret à sec reprend sa place ensuite sans risque de casse puisqu’il n’y a pas de joint.

Les bons gestes !

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© D. Klecka

Creuser les fondations

Dans les terrains argileux, mal drainés ou rendus instables par des travaux, il faut faire une fondation de 20 à 30 centimètres de profondeur : creusez une tranchée de la largeur du muret (environ 40 centimètres) sur toute la longueur prévue et remplissez-la de pierraille ou de cailloux. Tassez fortement et égalisez avec une dame en fonte (sorte de pilon) ou un rouleau bien lourd (rempli de sable par exemple).

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© D. Klecka

Stabiliser les pierres récalcitrantes !

Pour stabiliser des pierres récalcitrantes, on peut glisser en dessous de petites pierres minces et dures (les soustilles), récupérées lors de la mise en forme des pierres. Pour la solidité, il est important de bien croiser pour ne pas se retrouver avec des joints alignés verticalement, qui deviendraient fissures au fil des ans. Sinon, il n’y a pas vraiment de secret, chaque bâtisseur a son style !

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© D. Klecka

Un muret bien stable

Pour assurer la stabilité du muret, il faut lui donner une inclinaison vers l’arrière : c’est ce qu’on appelle le fruit. Cinq centimètres par mètre de hauteur sont une moyenne et permettent de résister aux poussées de la terre. Il faut également de temps en temps (tout les 1,50 à 2 mètres), glisser une pierre assez longue (une boutisse) qui traverse l’ensemble de l’ouvrage et le renforce. Comblez l’arrière avec un matériau très drainant, par exemple les débris de pierres, trop petits pour être utilisés en construction. En vous rapprochant du talus, ces débris peuvent être de nature plus terreuse, ou mélangés avec la terre extraite de la fondation.

Finitions

Traditionnellement, on met un peu de terre derrière le mur et au-dessus entre les pierres et on plante des iris, des sedums… qui constitueront ainsi une surface absorbante. On peut aussi faire des plantations plus conséquentes en plaçant un film géotextile au-dessus du drain et en remplissant de 20 centimètres de bonne terre (ainsi séparée, elle n’ira pas boucher le drain). Vous y ferez des plantations de couvre-sol de terres drainées (aromatiques, érigérons, népétas, achillées…).souce : terre vivante

Un refroidissement climatique qui semble inévitable


Les chercheurs prévoient un minimum solaire qui va se prolonger. Un changement climatique d'une nouvelle période froide. Tout ceci est fondé sur l'activité solaire.

1. 1. Dr. Habibullo I Abdussamatov: Académie Scientifique russe. Chef de la recherche spatiale à l'observatoire de Poulkovo, à Saint-Pétersbourg.

Comment: RIA Novosti, August 25, 2006: Khabibullo Abdusamatov Saïd et ses collègues ont conclu que la période d'un refroidissement global similaire à celui observé à la fin du XVII ème siècle - Lorsque les canaux ont gelé aux Pays-Bas et les habitants du Groenland ont dû quitter leurs habitations, cela pourrait commencer entre 2012-2105 et atteindre son pic en 2055-2060. ... Il a dit qu'il croyait que le changement climatique à venir pourrait avoir des conséquences très graves et que les autorités doivent aujourd'hui commencer à s’y préparer. "



2. David Archibald. Summa Development Limited (Australie).

Les articles de : Archibald, DC (2006), et les cycles solaires 24 et 25. Il a prédit une réponse climatique, énergétique et environnementaliste. Vol.17, No.1.

Commentaire d'un papier: "Basé sur un maxima solaire pour les cycles solaires 24 et 25 de moins de 50% environ, soit une baisse de la température mondiale de 1.5°C. C'est prévu d'ici à 2020 ce qui équivaut à l'expérience du minimum de Dalton.

3. 3. Dr. OGBadalyan et Obridko Dr.VN, Institut de Magnestism terrestre. Russia, Dr.J.Sykora. Astronomical Institute de l'Académie slovaque des sciences, de la République Slovaque.

De leur papier: Balalyan, OG, Obridko VN, et J. Sykora, (2000), La Luminosité de l’image de la ligne verte coronale et la prévision du 23eme cycle d'activité vers le 24, la physique solaire, 199: pp.421-435.

Commentaire du papier: "Une lente Augmentation de (l'intensité de la ligne verte coronale) dans le cycle 23 (1996-2009) nous permet de prévoir un faible nombre de Wolf (nombre de taches solaires) avec un maximum du cycle 24 ~ 50% à 2010-2011." (Notes: niveau de Dalton)

4. 4. Dr. BP Bonev, Dr Kaloyan, M. Penev, Dr. Stefano Sello. Penev,

(2004), à long terme la variabilité solaire et le cycle solaire au 21 ème siècle, l'Astrophysical Journal, Vol 605, pp.L81-L84.

Commentaire de leur article: "... Nous concluons à présent, l'apparition d'un minimum local à venir dans la durée et la variabilité solaire."

5. 5. L. John L. Casey, directeur, Centre du recherche spatiale et de science. Orlando, Floride

Du centre du rapport de recherche: Casey, John L. (2008), l'existence de "cycles relationnels" de l'activité solaire sur la décennie à l'échelle de plusieurs siècles, avec des modèles importants du changement climatique sur la terre. SSRC Research Report 1-2008 – The RC Theory,

Commentaires du rapport de recherche:

"En conséquence de la théorie, on peut prédire le prochain minimum solaire. ... Il est estimé qu’il y aura une baisse globale de la température d'une moyenne entre 1° à 1,5 degrés C, voire moins, du moins sur l'échelle du minimum de Dalton. ... Cette prévision solaire minimale suivante sera probablement accompagnée par la période la plus froide au niveau mondial depuis 200 ans. Ceci a le potentiel d'entraîner le monde entier agricole, sociale, vers des perturbations économiques. "

6. 6. Dr Peter Harris. Ingénieur, retraité, Queensland, Australie.

De son analyse de cycles glaciaires et interglaciaires, conclut-il: "... nous pouvons dire qu'il y a une probabilité d’un refroidissement imminent de la planète à hauteur de 94% et le début d’un petit age glaciaire. "

7. 7. Victor Manuel Herrera Velasco. Chercheur à l'Université nationale autonome du Mexique.

Ses commentaires de ses recherches, publié en août 2008: "... dans deux ans ou plus, Il y aura un petit âge glaciaire qui va durer de 60 à 80 ans."

8. 8. Dr's. YTHong, HB Jiang, TS Liu, LPZhou, J.Beer, HD Li, XTLeng, B.Hong, and XG Qin

De leur article: Réponse climatique du forçage solaire enregistré depuis 6.000 ans (isotope) temps O18-série de la cellulose de la tourbe chinois. L'Holocène 10.1 (2000) pp. 1-7. 1.7.

L'équipe de chercheurs chinois a observé "... une Radiation correspondante d'événements climatique quasi en totalité des changements de l’activité de l'énergie solaire."

La liste des mesures des isotopes O18 était en hausse pendant les périodes les plus froides. Ils ont conclu: "Si la tendance se poursuit après 1950 AD ... le prochain maximum de l'O18 (et donc du froid maximum) devrait se situerait entre environ AD 2000 et AD 2050."

9. 9. Dr. Boris Komitov, Académie bulgare des sciences. Dr. Vladimir Kaftan: Institut central de recherche de la géodésie, à Moscou.

De leur article: Komitov, B. et V. Kaftan, (2004), L'activité des taches solaires dans les deux derniers millénaires, sur la base des indices indirects et instrumentés : Les Séries temporelles des modèles et leurs extrapolations pour le 21 eme siècle, document présenté à l'Union astronomique internationale n ° Symposium 223. 223.

Commentaire de l’article : "Il résulte de leurs extrapolations pour le 21 e siècle qu'un minimum solaire va se produire au cours des quelques prochaines décennies. ... Il sera d'une ampleur similaire au minimum de Dalton, mais probablement plus long que ce dernier."

10. 10. Dr. Theodor Landscheidt (1927- 2004), Institut de recherche Schroeter des cycles d'activité solaire, Canada)

Parmi Ses observations de plusieurs années de recherche sur le climat et le forçage solaire notamment: "Contrairement aux spéculations du GIEC, un volte face sur le réchauffement dû à l’homme qui est prévu d’être élevé à hauteur de 5,8 (degrés) C dans les cent prochaines années, une longue période climatique fraîche avec une phase plus froide vers 2030 est à prévoir. "

11. 11. Dr Ernest Njau: Université de Dar es-Salaam, en Tanzanie.

De son journal: Njau, E., (2005), Il est prévu au réchauffement de mettre un terme à la tendance mondiale actuelle?, Les énergies renouvelables, Vol.30, Numéro 5, pp.743-752.

"... le sens des " variations de la température mondiale atteindra le prochain pic vers 2005 après quoi il y aura une tendance à la baisse. Enfin, il est démontré que ... le Groenland est actuellement dans un cours d’une tendance au refroidissement qui devrait durer au moins jusqu'à l'an 2035. "

12. 12. Dr. Tim Patterson : Département des sciences de la Terre, Université Carleton, Canada

D'après un article dans le Times de Calgary: le 18 mai 2007. En effet, l'un des plus intéressant, si ce n'est les déclarations alarmantes de Patterson a fait devant ses amis lors d’un diner. Les données satellitaires indiquent que d'ici l'année 2020, le prochain cycle solaire sera le cycle solaire 25 - l'un des plus faibles depuis le Petit Age Glaciaire. ( Cela a commencé au 13eme siècle et s'est terminé vers 1860), une époque où les gens vivant à Londres, en Angleterre avaient l'habitude de marcher sur la Tamise gelée en plein hiver.. Patterson: "Cela devrait être une grande préoccupation stratégique du Canada parce que personne ne possède d'agriculture plus au nord que nous." En d'autres termes, le Canada - le grand grenier de ce monde - pourrait même ne pas être en mesure d’assurer la plupart de ses céréales dans ses prairies.

13. Dr 'art Ken K. Ken K. Schatten et WKTobiska.

De leur document présenté à la 34 e Division de physique solaire, Réunion de la Société astronomique américaine, Juin 2003:

"Le résultat surprenant de ces prévisions à long terme est un déclin rapide de l'activité solaire, en commençant par le cycle n ° 24. Si cette tendance se poursuit, on pourrait voir le soleil se diriger vers un type de minimum d'activité solaire "Maunder" (une longue période de baisse des niveaux d'activité solaire vue au moyen age. "

14. 14. Dr. Oleg Sorokhtin. Scientifique émérite en Russie et membre de l'Académie russe des sciences naturelles et chercheur à l'Institut d'océanologie.

Du dernier article émis, en ce qui concerne le changement climatique, il a dit: "L’Astrophysique connais deux cycles solaires, de 11 et 200 ans. Les deux sont causés par des changements dans le rayon et la superficie du irradiance de la surface solaire. ... La Terre a dépassé le sommet de sa période la plus chaude et une période froide va se mettre en place très bientôt, d'ici à 2012."C’est un réel froid qui arrive lorsque l'activité solaire atteint son minimum et qui durera pour une durée de 50-60 ans, voire plus. "

15. 15. Dr Ian Wilson, Bob Carter et Waite IA.

De leur article: Est-ce qu'un couplage des orbites entre le Soleil et les planètes joviennes régissent le cycle solaire ? Publications de la Société astronomique en France 25 (2) 85-93 Juin 2008).

M. Wilson ajoute les précisions suivantes:

"Il soutient la thèse selon laquelle le niveau d'activité sur le Soleil va se réduire considérablement dans le courant de la prochaine décennie et il restera faible pendant environ 20-30 ans. "A chacune de ces phases solaires connues dans le passé, la température moyenne mondiale a chuté d’environ ~ 2,1° C. "

16. 16. Dr. Zhen-Shan Lin Xian et Sun. Nanjing Normal University, Chine

De leurs articles en météorologie et en physique atmosphérique, de 95.115 à 121: L’Analyse au niveau de multi-échelles de l'évolution de la température mondiale et de la tendance d'une baisse des températures dans les 20 prochaines années.

"... Nous croyons que les changements climatiques mondiaux seront à une tendance à la baisse dans les 20 années suivantes".

source : http://www.spaceandscience.net

Bilan du printemps 2010

La France a connu cette année un printemps avec des températures moyennes sensiblement conformes aux normales, généralement sec sur la majeure partie de la France. L’ensoleillement a été généreux sur le nord et l'ouest du pays.

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Moyennée sur la France, la température du printemps (mars-avril-mai) est proche de la normale, avec une anomalie positive de 0,2 °C. Cette douceur relative a été observée malgré des mois de mars et mai plus frais que la normale.
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Ce printemps 2010 a présenté des cumuls déficitaires sur la moitié nord et l'ouest du pays. En revanche, les précipitations ont dépassé les moyennes saisonnières dans le Sud-Est, à l'exception de la Côte d'Azur et des Alpes du Sud.
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L’ensoleillement a été supérieur à la moyenne sur la plus grande partie du pays sauf sur le quart sud-est. Le soleil a été particulièrement généreux sur la Basse-Normandie où les excédents ont approché une fois et demie la normale.

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Le printemps mois par mois


Mars
Malgré une troisième décade chaude, la température moyenne sur la France a affiché un léger déficit (–0,3 °C) par rapport à la normale en mars.

La pluviométrie de ce mois s'est montrée contrastée. Les cumuls mensuels se sont en effet avérés déficitaires du Finistère à la baie de Seine, du Nord – Pas-de-Calais à l'Alsace ainsi que sur le sud de l'Aquitaine et de Midi-Pyrénées, le déficit atteignant jusqu'à 50 % sur ces régions. En revanche, les cumuls ont affiché un large excédent sur le Languedoc–Roussillon et la Provence, atteignant deux fois la normale. Un épisode neigeux s'est déroulé du 7 au 9 d'abord en Provence, gagnant ensuite Languedoc-Roussillon et Midi-Pyrénées.

La durée d’insolation a été excédentaire sur la moitié nord de la France, en particulier sur la Normandie. Le quart sud-est a, au contraire, été déficitaire.


Avril
La température moyenne mensuelle s'est montrée très douce avec une anomalie positive de +1,7 °C par rapport à la normale, grâce à une dernière semaine très chaude. Ce sont surtout les températures maximales qui contribuent à cet excédent. Ce mois d'avril 2010 se classe ainsi parmi les plus chauds depuis 1950, mais loin derrière 2007 (+4,3 °C) ou encore 2009 (+2,0 °C).

La pluviométrie d'avril a connu un déficit généralisé sur l'ensemble du pays, avec localement des cumuls inférieurs à 30 % de la normale. Les cumuls mensuels les plus faibles sont localisés de la Gironde à la Lorraine, de la Normandie à l'Île-de-France, sur le Nord, le Languedoc et la Côte d'Azur.

La durée d'insolation s'est montrée partout excédentaire. L'ensoleillement a été très généreux dans le Nord-Ouest, atteignant une fois et demie à deux fois la moyenne en Bretagne, Normandie et sur les Pays de la Loire.


Mai
En raison d'une fraîcheur omniprésente durant les deux premières décades du mois, les températures moyennes ont connu une anomalie de –0,7 °C. Il faut remonter à 1996 pour rencontrer un mois de mai aussi frais. De nombreux records de froid ont été battus le 4 et le 5 dans la moitié sud.

Le mois de mai a été généralement sec à l'ouest d'une ligne Bordeaux-Charleville-Mézières et, dans une moindre mesure, sur le Limousin et de la Champagne à la Franche-Comté. Par endroits, les précipitations n'atteignent pas la moitié de la normale. Au contraire, des excédents sont observés de Midi-Pyrénées au Languedoc-Roussillon, sur le Sud-Est où les cumuls dépassent une fois et demie à deux fois la normale.

L'ensoleillement a été déficitaire de l’Est au Limousin, tout particulièrement sur l'extrême nord-est où la durée d'insolation a été à peine supérieure à la moitié de la moyenne. En revanche, le soleil s'est montré plus généreux de la Normandie aux Pays de la Loire.


Tableaux de valeurs records de températures

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Deux épisodes neigeux ont affecté le sud de la France au cours de ce printemps 2010.
Le premier a débuté le 7 mars, le second le 4 mai.


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le volcan qui modifia le climat planétaire


Situé à une centaine de kilomètres de Manille, le Pinatubo était considéré comme éteint et inoffensif... jusqu'en 1991, date à laquelle il se réveille après 500 ans d'inactivité : se produit alors l'une des éruptions les puissantes du 20ème siècle. Celle-ci fait près d'un millier de victimes et projettent dans l'atmosphère des aérosols et des cendres volcaniques qui... attaqueront la couche d'ozone et refroidiront le globe de 0,4 °C pendant environ trois ans (rayonnement solaire réfléchi par les gaz) ! La luminosité terrestre diminuera également de 10 %. La dernière éruption a eu lieu en 1993.